Rêve d'Alejo Carpentier. Orinoco (Le)

Jean-Louis Coatrieux

Collection : Hors collection 

Romancier, essayiste, musicologue, homme de radio et de cinéma, Alejo Carpentier aura profondément influencé la culture latino-américaine. Après Coabana, où nous le voyons échapper à la prison à Cuba grâce à Robert Desnos puis vivre à Paris un entre-deux guerres fait de bonheurs et de galères mais aussi nourri de rencontres avec tous ceux qui font la vie artistique de l’époque.

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20,00 €
TTC

300 page(s) / 14 x 21 cm cm / Broché

ISBN : 978-2-84398-650-5

Disponible
Date de parution : 17.02.2021


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Après Coabana donc, voici les années Orinoco, un exil volontaire au Venezuela, quinze années de folie où le temps de l’Amérique latine se compte en coups d’état. Pourquoi ce départ ? Une promesse de justice et de liberté dans ce pays de dictatures ? La découverte d’un continent qu’il aurait reçu en héritage ? Pour se consacrer à l’œuvre littéraire dont il rêve depuis sa jeunesse ?

Une seule certitude au moment d’ouvrir ce livre, c’est au Venezuela en effet que tout commence. Là qu’il écrira ses premiers grands romans : "Le Royaume de ce monde", "Le Partage des eaux", "Chasse à l’homme". Il lui fallait pour les écrire la Cordillère des Andes et les tepuys, ces tables de géants à la naissance du monde, les fleuves, de l’Orénoque à l’Oyapock et toutes les Caraïbes.

Bio auteur

Jean-Louis Coatrieux est l’auteur d’essais, de romans, de nouvelles et de recueils de poésie édités par Apogée, La Part Commune et Riveneuve. Il a notamment publié chez Apogée Xiaoling. Nouvelles de Chine en 2016 et Alejo Carpentier, de la Bretagne à Cuba en 2017.
Le premier volet du présent diptyque Le Rêve d'Alejo Carpentier, intitulé Coabana, est paru en juin 2019.

Revue de presse

"Il fallait toute la virtuosité et l'érudition de Jean-Louis Coatrieux pour restituer avec autant de justesse 'l'âme' d'Alejo Carpentier. Ni biographie, ni essai ce livre est en fait une composition musicale et cinématographique. Phrases courtes, saillantes d'où surgit immédiatement un paysage, un visage, une rue et où le chef d’orchestre fait tour à tour vibrer chacun des sentiments de l'artiste, ses doutes, ses détestations, ses engagements, ses bonheurs, bref tous les ingrédients de la création."
Lire l'intégralité de l'article d'Yves Dutier dan le blog Encres vagabondes (18/02/2021)

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