À lire sur le site Babelio (octobre 2014)
« […] je ne connaissais rien à la dépression, j'ai bien sûr été surpris par le comportement de Suzanne, ce repli sur elle-même, ce détachement de ce qui fait la vie, cette incapacité à bouger… ce chaos… en suivant le parcours de Suzanne, j'ai compris que la dépression touche avant tout le corps. C'est le corps qui est malade. »
Extrait de l'article d'Yvon Bouettée sur le blog Eireann, littérature d'Irlande, de Bretagne et d'ailleurs (8/10/2013)
« Un récit sobre, grave, qui ne néglige pas l'humour. »
Lire l'intégralité de l'article de Georges Guitton dans Place publique (nov.-déc. 2013)
« On sort brisé de cette lecture. Ou fourbu comme un cheval fou issu de sables mouvants et de marécages. Et, en même temps, exalté, subjugué, tant le talent de Marie Le Drian est grand. »
Lire l'intégralité de l'article d'Albert Bensoussan dans La Nouvelle Quinzaine littéraire (du 1er au 15 décembre 2013)
« Ce livre, pour les psy, vaut tous les manuels cliniques. Ou plutôt il les bouleverse. Privilège de la pure littérature. »
Lire l'intégralité de l'article d'Albert Le Dorze dans Le Bulletin de la Société médicale Balint (hiver 2013)
« À petits pas fragiles et avec humour, Marie Le Drian fait revivre cette souffrance d'une femme fatiguée dans un quotidien dévasté. »
Lire l'intégralité de l'article d'Hervé Bertho dans Ouest-France (9/01/2014)
« Son corps, si tant est qu'il fût en mouvement, se fige petit à petit, s'immobilise insensiblement, à devenir l'ombre portée d'une absence. Celui ensuite d'une suite d'états, très finement analysés. L'esprit est sagace, chaque situation est envisagée, filtrée et critiquée, avec une claivoyance presque prophétique. »
Lire l'intégralité de l'article de Jacmo dans la revue Décharge (juin 2014)