« Ce livre explore une forme d’écriture hybride ; il tient de l’essai, de la méditation, de la poésie et du journal, selon les pages, les moments d’une résidence d’auteur […] L’enjeu est là, sans doute : dans une époque chaotique où la fuite en avant semble être devenue le seul mode de vie possible, il s’agit de retrouver la poésie, la rêverie, le temps long de la contemplation d’un arbre ou de la flamme d’une chandelle. »
Lire l'intégralité de l'article d'Antoine Emaz, sur Poezibao
« L’inquiétude, persistante, de Françoise Ascal a son motif. Garder pied sur la terre qu’elle soit ferme ou meuble, tenir l’assise à la table de travail, tenir les mots en respect, tenir bon. »
Lire l'intégralite de l'article de Guénaël Boutouillet, sur Remue.net
« Le titre m’a séduite comme un pied de nez à notre époque où tout est enjeu de victimisation, où les catastrophes se succèdent et anéantissent des hommes devenus impuissants. »
Lire l'intégralité de l'article de Marcelline Roux sur Culture Chronique
« […] Françoise Ascal est poète, elle a une poétique propre à elle qui, au-delà des liens et des références, participe à la construction du monde dans une perspective d'avenir, dans le temps d'une humanité consciente d'elle-même. »
Lire l'intégralité de l'article sur le blog "La Pierre et le sel"
« On passe de narrations en poèmes, d'éléments biographiques sur Bachelard en autobiographiques, de commentaires en aphorismes, avec une jubilation continue. »
Lire l'intégralité de l'article de Jacmo dans la revue Décharge, n°152 (décembre 2011)
Lire l'article sur le blog de Jean-Luc Pouliquen
Lire la note de lecture de Thierry Beinstingel sur Feuilles de route
"Avec Un rêve de verticalité, c'est à une retraite méditative, aux accents poétiques, en rien ennuyeuse, que nous convie Françoise Ascal, et à cette occasion de redécouvrir Bachelard à travers ses pensées…"
Lire l'intégralité de la note sur Le Café littéraire luxovien
" […] Un livre de questions et d'images sensibles. Avec au cœur l'idée de partage. Simplement remarquable."
Lire la note de Katrine Dupérou dans Cahier critique de poésie