Le paysan, devenu exploitant agricole pour répondre à l'exigence de ''productivité'' du traité de Rome a accru sa maîtrise des sols et de l'espace rural. Néanmoins, une telle métamorphose a trop souvent conduit l'exploitant agricole - pour faire face à son surendettement - sur la voie d'un ''productivisme'' surabondant et polluant. Les autorités communautaires ne pouvaient demeurer indifférentes à cet état de fait. Le ''réforme de la PAC'' constitue la trame de cette étude.
Bio auteur
Stéphane Leclerc est titulaire d'un DEA de droit communautaire et expert détaché auprès de la Commission des communautés européennes.